Réunion publique le Jeudi 14 à 19h à la Bourse du Travail, 3 Rue du Château d’eau, Salle Jean Jaurès
Le gouvernement vient d’annoncer une baisse drastique des contrats aidés qui vont passer de 459 000 contrats signés en 2016 à 310 000 en 2017 (quid de 2018?) avec des conséquences sociales et humaines dramatiques (voir le communiqué d’ASSO). Ces contrats, financés en grande partie par l’Etat, permettent principalement à des associations et à des collectivités territoriales d’embaucher des personnes éloignées de l’emploi pour des missions d’intérêt général : animateur/animatrice socio-culturelle, coordinateur/coordinatrice d’association, formateur/formatrice, auxiliaires de vie scolaire auprès d’élèves en situation de handicap, secrétaire de Mairie, etc.
Bien que précaires et critiquables, ces contrats sont l’unique source de revenus de centaines de milliers de personnes et leurs disparitions vont avoir un impact considérable pour les personnes salarié.e.s dont bon nombre de salarié.e.s associatifs engagé.e.s, mais aussi pour tous les citoyens et citoyennes qui bénéficient indubitablement du travail de ces personnes.